CHERBOURG


Buste par David d'Angers, quai de Caligny, Cherbourg

Armand de Bricqueville
Armand François Bon Claude, comte de Bricqueville (ancienne graphie : Briqueville), né au château familial de Bretteville le 23 janvier 1785, mort le 19 mars 1844 à Paris, est un colonel de cavalerie de l'armée napoléonienne et député de la Manche.

Greenpeace

EPR, ce sont les initiales de European Pressurized (Water) Reactor, qui se traduit par Réacteur à Eau Pressurisée Europée

Le MV Artic Sunrise est un brise-glace appartenant à l'association écologique Greenpeacedepuis 1995.
Le MV Artic Sunrise apparait aux débuts du film Armageddon sorti en 1998.
Il eut un accrochage avec le Nisshin Maru, baleinier japonais, lors d'une campagne anti-chasse.
 
 
Greenpeace (de l'anglais : paix verte) est une organisation non gouvernementale internationale de protection de l'environnement présente dans plus de quarante pays à travers le monde. Fondé après le mouvement Don't Make a Wave Committee (en) visant à s'opposer aux essais nucléaires aux États-Unis, Greenpeace est un groupe de plaidoyer luttant contre ce qu'il estime être les plus grandes menaces pour l'environnement et la biodiversité sur la planète

La cité de la mer

La Cité de la Mer en quelques mots ...

Une visite insolite aux confins des océans
Complexe unique dédié à l'océan profond et sa conquête, La Cité de la Mer a déjà ravi plus de 1,7 million de visiteurs.

C'est là, dans l'ancienne Gare Maritime Transatlantique, prestigieux bâtiment Art déco, que La Cité de la Mer a posé ses valises en 2002. Son ambition, vous faire découvrir la fantastique aventure de l'Homme à la conquête des grands fonds, des origines à demain.

http://www.citedelamer.com/

Le Sous-marin Nucléaire Lanceurs d'Engins (SNLE) Le Redoutable est le premier sous-marin de ce type. Lancé le 29 mars 1967, il a été admis au service actif le 1er décembre 1971. A son admission au service actif, il est équipé de 16 missiles balistiques M1 (450kt sur 2000km), puis M2 à partir de 1974, puis de missiles M20 comportant chacun une tête nucléaire d'une mégatonne et d'une portée supérieure à 3000 km.

Détails : En mai 2002, il est devenu le coeur de la Cité de la Mer à Cherbourg, un musée consacré à l'aventure industrielle de la propulsion nucléaire navale, à l'exploration sous la mer et à la Force océanique stratégique.

La cale de radoub

La cale de radoub, dite de l'Epi, située non loin du port de plaisance Chantereyne de Cherbourg, construite tout en granit, est plus qu'une pièce importante du patrimoine maritime et touristique local.

Une forme de radoub est un bassin qui permet l'accueil de navires et leur mise à sec pour leur entretien, leur carénage (ou radoub : réparation de la coque d'un navire, nettoyage, peinture...), leur construction, voire parfois leur démantèlement.

On parle également de forme, de cale sèche, parfois de forme-écluse en fonction de la configuration rencontrée.

Cet article  est dédié à la mémoire de Jojo

La statue Napoléon Ier

Le lendemain, ils accueillent la reine Victoria et le prince Albert qui sont présents lors de la mise en eau du second bassin de l'arsenal, le bassin Napoléon III.

La reine Victoria et le prince Albert écourtent leur voyage car le 8 août est prévue l'inauguration de la statue équestre de Napoléon Ier... rappel de conflits franco-anglais.


Pour ériger cette statue, un concours fût organisé en 1854, emporté en juin 1855 par Armand Le Véel (1821-1905).


Celui-ci avait imaginé une statue adaptée à l'histoire du lieu : représenter Napoléon Ier contemplant les travaux de la rade et de la digue qu'il avait relancés en 1803 et inspectés en 1811.

Du 4 au 8 août 1858, l'empereur Napoléon III et l'impératrice Eugénie sont à Cherbourg. A leur arrivée, ils inaugurent la ligne de chemin de fer qui relie la ville à Paris.

Sur le socle de la statue

Sur le socle de la statue qui désigne le port militaire - et non l'Angleterre - sont gravés ces mots de l'empereur (Mémorial de Sainte-Hélène - 15 juillet 1816) :

"J'avais résolu de renouveler à Cherbourg les merveilles de l'Egypte".

Détails : Répertoriée comme objet mobilier puis inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en août 2006, la statue équestre en bronze de Napoléon 1er est, depuis le 31 janvier 2008, classée au titre des Monuments historiques

Pont tournant de Cherbourg :
 

Le pont tournant de Cherbourg est un pont mobile situé à l'entrée du bassin du commerce de Cherbourg-Octeville.
Alors que l'on décide de doter Cherbourg d'un bassin, en lieu et place de la lagune à l'embouchure de la Divette, les ingénieurs Pierre-Jean de Caux et Louis Roland Hüe de Caligny construisent entre 1738 et 1742 un premier pont tournant en bois à voie unique pour relier les deux rives.
Il est détruit en août 1758 lors de l'incursion anglaise et reconstruit en 1764 .
Il est rénové en 1881, puis amélioré en 1938 . Il comporte deux volées de 15 m chacune se rejoignant au milieu de l'écluse . Il est manœuvré à la main par des éclusiers, à l'aide de cabestans . Il est toujours à voie unique.
En 1885, un pivot central est substitué au pont en bois. Le pont offre désormais deux voies et deux trottoirs .
Le 28 février 1897, le tramway y passe pour la première fois
 
Le pont est d'abord endommagé en 1940 par des bombardement d'avions anglais de la Royal Air Force (RAF).
Il n'est remis en service qu'en 1942 . Le 23 juin 1944, l'armée d'occupation allemande dynamite l'ouvrage . Les Américains le remplacent provisoirement par un pont Bailey, qui ne permet qu'une circulation alternative
 
 
Un nouveau pont tournant est construit en 1958 par l'ingénieur Charles Lainé, originaire de Tourlaville. Il est inauguré le 24 mai 1958 par René Schmitt, alors maire de Cherbourg. Lors de la cérémonie, l'ingénieur en chef Maurice Gallien décrit le pont flambant neuf : « La volée, d'une longueur de 24 m, est équilibrée, au cours de la rotation, par une culasse de 11 m formant contrepoids. L'ouvrage comprend sept poutres principales solidarisées par des chevêtres transversaux et pèse 343 tonnes. Un système de basculement permet, avant rotation, de le dégager de ses appuis routiers et de le faire reposer sur son pivot et sur deux galets. Un moteur électrique assure le soulèvement et un autre la rotation. Toutes les manœuvres, y compris celles des barrières et de l'écluse, sont commandées à distance et durent environ une minute et demie. » .

Hôpital Louis-Pasteur :

L'hôpital ouvre ses portes en 1860. Il a été officiellement créé longtemps avant par un décret de Napoléon Ier du 6 juin 1811. L'Empereur avait prévu pour financer l'établissement une allocation annuelle de 20 000 francs, à verser à partir de 1815 et pendant neuf ans. Mais l'argent est bloqué. Napoléon III relancera l'affaire et l'hôpital portera, un temps, son nom.
À l'origine, l'hôpital offre 510 lits .
Le 23 janvier 1978, l'hôpital se dote d'un Service médical d'urgence (SMUR) .
Le 6 mai 1978, la nouvelle maternité est inaugurée .
En 1989, un nouvel hôpital est ouvert, suivi en 1991 de la mise en service d'un nouveau plateau technique.
En 2000, l'hôpital reprend l'activité de chirurgie et de maternité de l'hôpital de Valognes.
En 2002, reprise de l'activité de l'hôpital des armées René-Le Bas.
Le 1er avril 2006, l'hôpital fusionne administrativement avec l'hôpital de Valognes pour former le Centre hospitalier public du Cotentin.

L'hôpital est conçu par Dominique Geufroy, architecte de la ville . « L'ensemble des bâtiments, vu de l'extérieur, offre une belle masse. Malheureusement le défaut d'emplacement ayant nécessité l'avancement de la façade presque jusqu'à l'alignement de la rue, le spectateur manque de reculée, et ne peut saisir l'ensemble du monument. Le pavillon central est de style néo-grec et d'un bon aspect. Les autres bâtiments ne sont à proprement parler d'aucun style, mais ils offrent de bonnes proportions et le mélange de briques et de pierres employés dans leur construction leur prête une physionomie relativement pittoresque. »

Gloire dans le chœur de la basilique

Théâtre de Cherbourg / La mairie, Hôtel de ville de Cherbourg

"Le Théâtre d'or" : c'est ainsi que le surnommèrent les Cherbourgeois lorsqu'ils purent enfin contempler le raffinement tant extérieur qu'intérieur de leur nouveau théâtre en 1882.

Le théâtre de Cherbourg est une salle de spectacles de la Manche située à Cherbourg-Octeville.

Inauguré le 28 janvier 1882, c'est la plus importante scène théâtrale du département. Il s'agit d'un théâtre dit « à l'italienne », c'est-à-dire en U ou ovale, avec un parterre surplombé de plusieurs galeries en bois.

Depuis 1991, il a le statut de « scène nationale ». Il est la principale scène du Trident, structure née en 2002 pour regrouper les théâtres de Cherbourg-Octeville.

Le bâtiment est classé au titre des monuments historiques (MH) en décembre 1984.

La façade éclectique de 50 mètres intègre des éléments classiques, comme les pavillons en retrait et le toit à pan brisé, le style Renaissance par le rez-de-chaussée à arcades et l'étage-noble à fenêtres rectangulaires à fronton et balustrades, et un décor sculpté inspiré des théâtres parisiens du Second Empire et de la Troisième République. Elle est unifiée par l'usage du bossage à refend au rez-de-chausée et une des pilastres toscans.

Le corps central, mesurant 25 mètres de large sur 25 mètres de haut, est coiffé d'un toit brisé en pavillon, dont la naissance est masquée par un attique à fronton cintré brisé[1] sur lequel Lefèvre-Deslonchamps a scuplté les allégories de la Tragédie (Melpomène levant un poignard) et de la Comédie (Thalie), entourant les armes de Cherbourg de 1811. Au dessus de l'inscription ""théâtre"", deux groupes, du même sculpteur, représentant les enfants de la Lyre, encadrent trois grilles d'aération rectangulaire en fer forgé, formant un médaillon dans une couronne de lauriers.

Le parvis en granite et grès du Roule donne accès aux doubles portes en bois et fer forgé sous cinq arcades, surmontées de mascarons à tête de satyre et de jeune homme sculptés par Édouard ou Edmond Bandeville[1]. Entre les portes, les cariatides déhanchées du cherbourgeois Louis Alexandre Lefèvre-Deslonchamps, aux torses reposant sur des gaines ornementées d'attributs de musique (tambourin, trompettes, partition...), soutiennent faussement le balcon qui courre le long du foyer au dessus des trois arcades centrales.

Ce large balcon communique avec le foyer par trois baies à fronton cintré brisé, séparées par trois colonnes corinthiennes simples et deux collonnes géminées aux extrémités, et surmontées par des occuli à clé de voûte et feuilles de lauriers abritant les bustes de Corneille, Boiëldieu et Molière (réprésentant la tragédie, la musique et la comédie), réalisés par Jean Jules Allasseur, à l'instar de la façade de l'Opéra Garnier qui présente au dessus de la loggia des bustes de compositeurs[3]. De part et d'autre du portique corinthien, une baie est coiffée d'un fronton triangulaire, au-dessus duquel est logé une grille d'aération ovale, représentant une lyre en fer forgé.

Deux pavillons commerciaux, dont la hauteur et la largeur sont la moitié des dimensions du corps principal encadre le corps principal. Leurs façades sur la place de Gaulle présentent un arc aplati au rez-de-chaussée et un arc segmentaire encadré par deux fenêtres à garde-corps en fer forgé à l'étage, et sont coiffés par des balustrades ornées d'un fronton sculpté par François Roger figurant un couple de jeunes filles ailées, enguirlandées de roses, assises, jambes croisées, de chaque côté d'une lyre. Derriere, la toiture en zinc est à trois pans. Le pavillon oriental abrite le Café du théâtre, le pavillon occidental accueille l'administration et l'artothèque municipa

L'hôtel de ville de Cherbourg, fut construit en 1851, et agrandi en 1858, sur les plans de l'architecte Geoffroy, une aile lui fut ajoutée sur le côté sud ouest, du bâtiment en L, puis un grand salon fut ajouté, au nord de la grande salle, après le passage de Napoléon III.
Au premier étage se trouve la grande salle de réunion, le salon est une pièce en forme de rotonde, permettant de communiquer avec le grand salon. L'édifice est orné d'une décoration en stuc, sur les murs et les plafonds.
Sont inscrits aux monuments historiques, depuis le 13 août 2004, le grand salon, le salon octogonal, le salon de l'impératrice, les décors et les parois intérieures, l'escalier qui mène au grand salon et sa cage.

PLACE DE LA FONTAINE, CHERBOURG:

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