SAÏMIRI DE BOLIVIE

Saimiri boliviensis / Black-capped squirrel monkey /
Bolivianischer Totenkopfaffe
Habitat :
Le saïmiri de Bolivie vit dans les forêts pluviales de l'Ouest du bassin amazonien.
Reproduction : La période des amours est d'une rare violence chez les saïmiris.
Les attaques entre mâles peuvent parfois aller jusqu'à la mort. La gestation dure environ
5 mois et demi. La mère met bas un seul petit qui sera éduqué par elle-même
ainsi que par d'autres femelles tenant le rôle de baby-sitter.

Durée de vie moyenne :
Jusqu'à 25 ans en captivité.

Particularités :
Appelés aussi singes écureuils, les saïmiris sont diurnes et arboricoles. Ils vivent
en grands groupes de 45 à 75 individus. Les femelles dominent les mâles sauf durant
la période d'accouplement. Vers 5 ans, les jeunes mâles quittent leur groupe
pour en rejoindre un autre, ce qui permet un brassage génétique. Les femelles,
quant à elles, restent généralement toute leur vie dans le même groupe. Ils peuvent
s'associer à des singes capucins pour optimiser la découverte de nourriture et pour
augmenter les chances de déceler un prédateur éventuel. Le saïmiri de Bolivie est
encore capturé et envoyé dans des laboratoires peu scrupuleux pour servir d'objet
de recherche médicale.Habitat : Le saïmiri de Bolivie vit dans les forêts pluviales de l'Ouest du bassin amazonien.
Reproduction : La période des amours est d'une rare violence chez les saïmiris.
Les attaques entre mâles peuvent parfois aller jusqu'à la mort. La gestation dure environ
5 mois et demi. La mère met bas un seul petit qui sera éduqué par elle-même
ainsi que par d'autres femelles tenant le rôle de baby-sitter.

Durée de vie moyenne :
Jusqu'à 25 ans en captivité.

Particularités :
Appelés aussi singes écureuils, les saïmiris sont diurnes et arboricoles. Ils vivent
en grands groupes de 45 à 75 individus. Les femelles dominent les mâles sauf durant
la période d'accouplement. Vers 5 ans, les jeunes mâles quittent leur groupe
pour en rejoindre un autre, ce qui permet un brassage génétique. Les femelles,
quant à elles, restent généralement toute leur vie dans le même groupe. Ils peuvent
s'associer à des singes capucins pour optimiser la découverte de nourriture et pour
augmenter les chances de déceler un prédateur éventuel. Le saïmiri de Bolivie est
encore capturé et envoyé dans des laboratoires peu scrupuleux pour servir d'objet
de recherche médicale.