La Giettaz en Aravis

Une spatule sur la Savoie, l'autre sur la Haute-Savoie, avec un panorama grandiose au Torraz, 360° sur les Alpes et le Mont-Blanc.

Village typique, La Giettaz a su gardé ce quelque chose qui fait que l'on se sent bien, tout de suite.
C'est la chaleur des gens d'ici, leur façon de vous recevoir chez eux.

La Giettaz (prononcé « La Giète ») est une commune française située dans le département de la Savoie en région Rhône-Alpes.

Commune du massif des Aravis qui lui vaut parfois le surnom de « La Giettaz-en-Aravis », nom donné à sa station de sports d'hiver, son chef-lieu est situé au pied du col des Aravis, sur les hauteurs du val d'Arly.

 

EGLISE DE LA GIETTAZ

 

L'église de La Giettaz, dédiée à saint Pierre-aux-Liens, a été reconstruite au milieu du 19 ème siècle en remplacement de l'édifice antérieur du 14 ème siècle. Son clocher à bulbe et son mobilier en font un bel exemple de baroque tardif savoyard.

 

 

Le vaste bâtiment en croix grecque, original de part sa coupole intérieure et centrale, est orné d'un majestueux clocher à bulbe à deux lanternons.La riche décoration intérieure doit beaucoup aux fresques du 19 ème siècle de Clément Giacobini, aux nombreuses statues et aux autels d'inspiration baroque. Le retable de 1849, oeuvre de maître Shiras, réutilise une partie de l'ancien maître-autel du 18 ème siècle.

C'était un dimanche matin... Les occupants de la maison qu'on appelle « les Iles à la Victorine » (chalet situé en amont du Plan sur le chemin de Jaillet) étaient descendus, comme à l'accoutumée, à la messe au village. Seule leur petite fille, un peu fatiguée, était restée au chalet. Ses parents lui avaient fait mille recommandations, de n'ouvrir à personne, de rester bien au chaud... Mais hélas !

De retour de l'office, les pauvres parents aperçoivent avec effroi, au détour du chemin, un énorme loup tout prés de leur maison, traînant dans sa gueule une proie : c'était leur petite fille. Laissant sur place leurs sacs et provisions, ils accoururent sur les lieux pour tabasser, comme il le mérite, ce méchant loup et libérer la fillette. Celle-ci, un peu étonnée, mais en définitive assez peu choquée, ne fit qu'une remarque « Ké ké chantè mâ dyan sa gourze a sla bourta bétye ! » c'est-à-dire « Qu'est-ce-qu'elle puait de la gueule cette sale bête ! »

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