Grottes de la Balme

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Les grottes de la Balme se situent dans le département de l'Isère, non loin des berges du Rhône, sur le territoire de la commune de La Balme-les-Grottes.
 
Enfoncée dans une falaise dominant le Rhône, cette cavité au porche spectaculaire contient des traces d'occupation humaine très ancienne, abrite deux bâtiments religieux superposés et appartient à la commune qui l'a transformée en site touristique ouvert à tous les publics depuis deux siècles. 
 

Bienvenue aux Grottes de La Balme !

Site naturel rare et exceptionnel, Les Grottes de La Balme proposent une sortie loisir atypique au cœur du monde souterrain destinée à toute la famille !
 
L'entrée de la cavité se présente sous la forme d'un porche de 35 m de haut et 28 m de large. Sur le côté, le visiteur peut découvrir une construction sous la forme de deux chapelles superposées

Visitées depuis 1807, Les Grottes de La Balme sont situées en Isère (territoire des Balcons du Dauphiné), à seulement 40 minutes de Lyon, sur la commune de La Balme-les-Grottes.
Située à l'extrême nord du département de l'Isère, sur le plateau de l'Isle Crémieu, la commune de La Balme-les-Grottes est située à 45 km au nord-est de Lyon et à 98 km au nord de Grenoble.

Labyrinthes naturels, lac souterrain, amphithéâtre de petits bassins (gours), stalactites, stalagmites, draperies... : Les Grottes de La Balme constituent un lieu magique et mystérieux où émotions et sensations grandissent au fil de votre visite !

Découvrez à votre rythme les beautés et mystères du monde souterrain en parcourant un kilomètre de galeries

Venez également faire la connaissance de ces étranges animaux que sont les chauves-souris.
23 espèces* séjournent aux Grottes de La Balme de façon temporaire ou permanente depuis plus de 30 ans.
Notre site est connu comme celui répertoriant le plus grand nombre d'espèces de chauves-souris en Rhône-Alpes.

La Préhistoire

À la fin de l'âge du Bronze, des hommes ont laissé d'importants vestiges dont de nombreuses tombes avec urnes cinéraires et offrandes animales découvertes dans des anfractuosités et sous des blocs rocheux dans de nombreux secteurs de la grotte

 

une “marmite de géant”

une cavité formée par « un tourbillon d'eau gigantesque, qui a emmené des gravillons, venus polir la pierre »

le balcon “Mandrin”

Tout un groupe de gens périt noyé en voulant explorer la rivière souterraine ; il n'y eut qu'un seul survivant : un jeune marié...

 

Le 20 avril 1919, dix personnes, dont un guide, trouvent la mort dans un accident de barque survenu sur le lac sans que l'enquête effectuée ensuite puisse déterminer les circonstances exactes du drame. La légende veut qu'un couple de jeunes mariés faisait partie du groupe. Depuis cette époque une concrétion située dans le secteur porte le nom de « voile de la mariée »
 
En 1952, de nombreux accidents de plongée se succèdent dans la grotte et en 1958, un plongeur trouve la mort en explorant un siphon
De 1951 à 1984, depuis l'entrée du lac des grottes, près de 3200 mètres de réseau ont été découverts dont 1360 mètres de sipho

une fresque représentant François Ier.

Puis ce fut un lieu de pélérinage pour François 1er , dont nous pouvons admirer la magnifique peinture exécutée en 1882 par Théodore Lévigne , afin d'honorer ses dettes à la petite ville de La Balme .
 
 Peinte en 1882 par Théodore Levigne. « Cet artiste lyonnais, lors d'un séjour dans la commune, a tellement bien bu et mangé qu'il n'avait plus d'argent pour payer sa note.
Le tavernier, qui était aussi le tenancier des grottes, lui a dit :”Tu te débrouilles”. » Le peintre a alors décidé de réaliser une œuvre. Il a travaillé pendant « six heures, à la bougie, avec des matériaux naturels extérieurs aux grottes et avec l'argile présente dans les grottes ».
Une réalisation « qui n'a jamais été retouchée », bien conservée dans cette « cavité sèche ». Outre un jeu de regard qui vous suit, « selon que vous soyez à droite ou à gauche de la fresque, vous ne voyez pas tout à fait la même chose ». En fonction de l'angle de vue, le « cuissot » du roi grossit. 
 
 énorme différence qui provient du support : une paroi avec des bosses et des cavités et donne tout le relief au personnage selon où l'on se trouve ; les regards du cavalier et du cheval semblent vous regarder où que vous vous trouviez !

François 1er

 
Il serait venu en 1516 avec sa mère, Louise de Savoie, après la bataille de Marignan.
De passage à Crémieu. Il aurait prié dans la chapelle et aurait pris un souper dans la salle à manger, au bout du labyrinthe. Il aurait aussi conduit la première expédition de découverte du lac souterrain »,  « C'est la légende, rien n'est vérifié et rien n'est vérifiable. »
 

une construction sous la forme de deux chapelles superposées qui datent respectivement du ixe siècle et du xive siècle. La première des deux chapelles (dite haute) est dédiée à la Vierge Marie et la seconde (dite basse) est dédiée à saint Jean-Baptiste. Le clocheton de cet ensemble religieux culmine presque au niveau de la voûte2. Un escalier intérieur relie les deux chapelles qui sont voûtées en berceau avec un chœur dit en « cul-de-four ». Les élévations latérales de la chapelle Notre-Dame sont décorées par des arcatures aveugles en plein cintre et l'ensemble repose sur des piliers. Le site est classé à l'inventaire des monuments historiques

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