Boulogne-sur-Mer

Boulogne-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Pas-de-Calais et la région Nord-Pas-de-Calais. Pendant la Révolution française, la ville fut appelée Port-de-l'Union.
Les habitants de Boulogne-sur-Mer sont appelés les Boulonnais.

 Présentation
  
A proximité du Tunnel sous la Manche, à deux heures trente par l'A16 de Paris, au cœur de la Côte d'Opale et du Boulonnais, région verdoyante et vallonnée, Boulogne-sur-Mer étonne et séduit qui ne la connaît pas...
Riche d'un patrimoine qui lui vaut le titre envié de Ville d'Art et d'Histoire, la ville haute dresse ses témoins de pierre : un beffroi du XIIème siècle, de formidables remparts du XIIIème siècle, un Château-Musée captivant, une cathédrale imposante, une crypte médiévale, ...
Boulogne-sur-Mer est aussi le premier port de pêche de France, avec une gastronomie du poisson appréciée de tous les gourmets.
Près de la plage, Nausicaä, Centre National de la Mer, vous propose un fabuleux voyage dans les mers du monde entier.

Colonne de la Grande Armée

La colonne de la Grande Armée ou colonne Napoléone est une colonne commémorative élevée à Wimille (Pas-de-Calais), près de Boulogne-sur-Mer, entre 1804 et 1823. Œuvre de l'architecte Éloi Labarre, elle est haute de 50 mètres.

Napoléon Ier rassembla à Boulogne, en 1804, l'armée des côtes de l'Océan, qui devint la Grande Armée.
Le 16 août 1804 eut lieu la première distribution de la Légion d'honneur au camp de Boulogne. La décision d'élever un monument en hommage à Napoléon fut prise au lendemain de la distribution de la Légion d'honneur. Le maréchal Soult annonça à l'empereur « le voeu des soldats » de mettre en place aux frais de la légion une colonne en marbre avec une statue de Napoléon. Les soldats ont donc du faire le sacrifice d'une demi-journée de solde par mois et d'une journée entière pour les officiers. Elle eut pour architecte Eloi Labarre qui avait aussi dessiné les plans du second théâtre de Boulogne.
La première pierre fut posée le 18 brumaire an XIII (9 octobre 1804), le chantier au début fut actif mais marqua cependant un coup d'arrêt en 1805 lors du départ de l'Armée des Côtes et de l'Océan pour Austerlitz. À la chute de l'Empire, la colonne ne s'élevait qu'à une hauteur de vingt mètres, soit le tiers de sa hauteur, les sculptures de Houdon et Moitte furent brisées et les bronzes furent réutilisés pour ériger la statue de Louis XIV place des Victoires et celle d'Henri IV à Paris. Les deux lions furent préservés en raison de leur non-allusion à l'Empire.
 
 

Les travaux furent repris en 1819, et la plate-forme fut posée en 1821, elle eu une nouvelle vocation : celle de rendre hommage à Louis XVIII et de la monarchie restaurée. La colonne fut couronnée d'un globe royal en 1823. En 1827, tout fut achevé : deux pavillons furent construit à l'entrée du domaine, les jardins furent achevés et la construction d'une allée triomphale aussi. La monarchie de Juillet s'accompagna d'une réhabilitation de l'Empire, dans cet élan la colonne boulonnaise retrouva sa vocation d'origine. Le sculpteur François-Joseph Bosio reçut commande de la statue de Napoléon qu'il figura comme celle de Houdon, dans son costume de sacre, la croix de la Légion d'honneur à la main. Elle fut montée au sommet de la colonne en 1841 le 15 août.

La colonne de la Grande Armée de Boulogne a été classée monument historique par arrêté du 31 mars 19051. Elle est gérée par le Centre des monuments nationaux

Le général de Gaulle fit remplacer la statue de Bosio, endommagée, en exigeant toutefois que Napoléon figure en habit de « petit caporal » et non en habit d'empereur. La statue actuelle est l'œuvre de Pierre Stenne (1962). En 1984, l'ancienne statue fut restaurée et déposée dans l'un des deux pavillons de l'entrée du domaine.


En 2002, la colonne fut frappée par la foudre, ce qui causa des éclatements de la pierre à son sommet. Une restauration a été entreprise, mais il n'est plus possible de monter au sommet. Un petit musée (entrée gratuite) est proposé aux visiteurs dans le pavillon de droite.

Située à coté de Nausicaa, la plage de Boulogne sur mer est bordée par la ville et accessible à pied et en voiture. Elle est desservie par les bus municipaux.

Plage de sable fin équipée de toilettes et de douches, elle est surveillée en période estivale. Faire très attention aux courants dangereux
La location de cabines, de paravents et de chaises longues est possible sur place.

Vous avez la possibilité de pratiquer du char à voile (voir école de char à voile sur place). Coté sport, la plage de Boulogne-sur-Mer permet la pratique du Kite-surf, de la planche à voile ou le spot est protégé par la rade

Le capitaine FERBER à trouvé la mort aux environs de Boulogne sur Mer le 20septembre 1909 ; lors d'un vol d'essais sous le nom « la rue » il pilotait un avion de marque voisin au départ de Beuvrequen
C'était un ingénieur militaire précurseur de l'aviation. Un monument avait été décidé et inauguré le 9 juillet 1911 , il était érigé sur la digue Saint de beuve dans un jardin face à la mer , il a été détruit pendant la guerre l' aigle de bronze venait de le coiffer sur un globe ennuagé

Le port de plaisance

Situé à moins de 200 mètres du centre-ville de Boulogne, il dispose actuellement de près de 500 places.

C'est le seul port de la Côte d'Opale avec accès direct à la mer, entre Ostende en Belgique et Saint-Valéry-sur-Somme, au sud.

Frédéric Sauvage

Pierre Louis Frédéric Sauvage (20 septembre 1786 à Boulogne-sur-Mer en France - 17 juillet 1857 dans le quartier de Picpus à Paris en France) est un mécanicien et ingénieur, inventeur français, en particulier de l'hélice à spirale, du physionomètre, du réducteur de statue et du soufflet hydraulique.

L'Eglise Saint-Nicolas

LE PALAIS DE JUSTICE

Un modèle inspiré de l'Antiquité.
De style néoclassique(1852), le Palais de Justice présente une facade ordonnée, d'ordre dorique au premier niveau, ionique au second. Au fronton, la loi est appuyée sur la Justice, entourée de quatres autres allégories, figurant le Commerce, l'Industrie, l'Artisanant et les Arts.
Les grandes niches du premier étage abritent des statues de Charlemagne et de Napoléon Ier.

LE PALAIS IMPERIAL

Le Palais Impérial
Situé dans la ville fortifiée, l'ancien Hôtel Desandrouin est plus connu sous le vocable de Palais Impérial. A l'époque du Camp de Boulogne, cette demeure fut le siège de l'Etat-major de la Grande Armée. Le Premier consul l'occupa pour la première fois en 1803; empereur, il revient avec Marie-Luise en 1810 puis en 1811. Aujourd'hui, le Palais Impérial, de style néoclassique est admirablement restauré et meublé selon l'époque et abrite la Maison de la Recherche de l'Université du Littoral.

La Mairie et son jardin

LA BASILIQUE NOTRE DAME

La basilique Notre-Dame fut élevée entre 1827 et 1866 par l'abbé Haffreingue, sur les ruines de l'ancienne cathédrale, détruite peu après la Révolution. Cet ensemble colossal au dôme culminant à 101 m de hauteur est inspiré de Saint-Paul de Londres, de Saint-Pierre de Rome, du Panthéon et des Invalides!...A l'intérieur, le maître-autel des princes Torlonia, chef d'oeuvre de la mosaïque italienne du XIXème siècle.

a tradition qui relate l'arrivée d'une statue miraculeuse de la Vierge sur le rivage boulonnais en l'an 639 donna l'impulsion à un important culte marial qui trouva tout son développement au Moyen Age. Un premier sanctuaire fut construit à l'époque en haute ville, remplacé vers 1100 par une abbaye construite par Ide de Lorraine, épouse du comte de Boulogne Eustache II et mère de Godefroy de Bouillon. Boulogne devint un grand centre de pèlerinage au rayonnement si étendu qu'il accueillit jusqu'aux rois de France et d'Angleterre, venant vénérer Notre-Dame de Boulogne.
De l'affluence des pèlerins, il résulta une abondance de dons qui firent de l'église de Sainte Ide un édifice prestigieux. Aux XIIIe siècle et XIVe siècle siècles, l'église fut dotée d'un style gothique. Saccagée une première fois pendant le siège anglais (1544-1550), puis quelques années plus tard pendant les troubles de la Ligue, elle fut finalement détruite en 1798, où elle était devenue bien national. À partir de 1827, l'abbé Haffreingue mit tout en œuvre pour la reconstruire, effectuant lui-même les plans et dirigeant les travaux.
L'esthétique du nouvel édifice puise sa source dans le style néoclassique, très prisé au début du XIXe siècle siècle; le nouvel édifice se distingue notamment par le très haut dôme (environ 100 mètres) qui domine ses parties orientales. L'église repose sur l'une des plus vastes cryptes de France qui lui sert de fondations et où il est possible de visiter la crypte du XIIe siècle siècle, redécouverte lors des travaux de reconstruction. Un trésor d'art sacré y est conservé, dont le reliquaire du Saint-Sang, offert en 1308 par Philippe le Bel, constitue le plus remarquable objet.

Statue du Roi David de l'ébéniste lillois J. Buisine réalisé en 1895

Notre dame de Boulogne la statue est en marbre blanc

 

Coupole de la Basilique Notre-Dame de l'Immaculée Conception de Boulogne-sur-Mer

hauteur du dôme qui culmine à 88 mètres.

La basilique Notre-Dame avec son dôme haut de 83 mètres se voit à des kilomètres à la ronde. Cet édifice fut construit par l'abbé Benoît-Agathon Haffreingue au XIXe siècle siècle, entre 1827 et 1866. Le dôme est similaire à celui de l'église de la Compagnie (Iglesia de la Compania) de Guanajuato (Mexique)[réf. nécessaire]. Le visiteur peut y découvrir le splendide autel Torlonia, chef d'œuvre de la mosaïque italienne, réalisé dans les ateliers du Vatican. D'un poids de 16 tonnes, il est composé de 147 sortes de marbre et de pierres ornementales. De nombreuses œuvres d'Eugène Delaplanche y sont aussi présentées (statue de Notre-Dame de Boulogne, cénotaphe de l'abbé Haffreingue, autel du Sacré-Coeur...)

François Auguste Ferdinand Mariette

Enfant du pays boulonnais, Auguste Mariette Pacha est incontestablement l'un des pères fondateurs de l'Egyptologie en France

François Auguste Ferdinand Mariette est un égyptologue français né le 11 février 1821 à Boulogne-sur-Mer et mort le 18 janvier 1881 au Caire (Égypte).

Professeur au collège de Boulogne-sur-Mer en 1841, il se passionne pour l'égyptologie, en visitant la Galerie égyptienne du musée de Boulogne et en classant les notes que son cousin Nestor L'Hôte, décédé en 1845, a recueilli lors de son voyage avec la mission franco-toscane sur la terre des pharaons. Pour définir sa passion, il déclare, « Je suis entré dans l'Égypte par la momie du musée de Boulogne » et « Le canard égyptien est un animal dangereux : un coup de bec, il vous inocule le venin et vous êtes égyptologue pour la vie ».

Il apprend les hiéroglyphes, le copte, le syriaque, l'araméen et, renonçant au professorat, entre comme commis au Louvre (ex-Charles X), acceptant un travail ingrat et mal rémunéré. Remarqué par Emmanuel de Rougé et Charles Lenormant, il se fait envoyer en Égypte par le musée du Louvre, en 1850, pour acquérir des manuscrits coptes.

L'affaire ne se fait pas et il utilise les fonds pour fouiller à Saqqarah, après avoir admiré la plaine depuis les remparts du Caire, ayant sous les yeux le spectacle des pyramides, du Nil, de la plaine de Saqqarah :

« Il y avait là, presque à la portée de ma main, tout un monde de tombeaux, de stèles, d'inscriptions, de statues. Que dire de plus ? »

Le lendemain, il s'équipe et le 20 octobre, il campe au pied de la grande pyramide. Alors qu'il passait par le plateau de Saqqarah, il remarque, émergeant du sable, la tête d'un sphinx ; il songe alors à la description, faite par Strabon, d'une avenue menant au Sérapéion, bordée de plus de cent quarante sphinx. Le voyageur grec affirmait qu'il se trouvait à Memphis « un temple de Sarapis dans un endroit tellement sablonneux que les vents y amoncellent des amas de sable sous lesquels nous vîmes des sphinx enterrés, les uns à moitié, les autres jusqu'à la tête... ».

Le résultat fut immédiat : des sphinx sont ainsi mis au jour, ainsi qu'une statue du dieu Apis de belle facture. On lui doit la découverte (le 1er novembre 1850), du Scribe, une des pièces maîtresses du département égyptien du Louvre, et la fouille (jusqu'en 1854) du Sérapeum de Memphis et de la nécropole de Saqqarah où il dégage de nombreux mastabas de l'Ancien Empire.

En 1857, il revient donc en Égypte, y rencontrant Ferdinand de Lesseps, et ce dernier apprécie la tournure d'esprit de Mariette en ce qui concernait la destination des antiquités. Aussi est-il présenté à Mohammed Said Pacha qui avait succédé à Méhémet Ali :

« Il nous incombe de veiller avec soin sur les monuments. Dans cinq cents ans, l'Égypte sera-t-elle encore en mesure de montrer aux érudits qui la visiteront ceux-ci tels que nous les découvrons aujourd'hui ? »

Il ouvre un chantier à Dra Abou el-Naggah (Thèbes) et, en décembre, le sarcophage du roi Ahmôsis Ier (qui régna jusqu'en -1567 et qui mit fin à la dynastie des envahisseurs Hyksôs, lors de la prise d'Avaris) est retrouvé intact.

Il crée le service des antiquités de l'Égypte et le musée de Boulaq dont il devient directeur le 1er juin 1858, et, à Thèbes, sur la rive opposée à Louxor, non loin du lieu où il avait exhumé le sarcophage de Kamosé, son équipe dirigée par Maunier, met au jour celui de son épouse Iâhhotep, ainsi que le mobilier et les somptueux bijoux qui l'accompagnaient. En l'absence de l'égyptologue français, les autorités égyptiennes ouvrent le sarcophage, « balancent » la momie et conservent les bijoux et objets trouvés qu'elles expédient, via le Nil, à destination du Caire. Le directeur général des antiquités intercepte le convoi fluvial et récupère les caisses, se plaignant auprès de Saïd Pacha, qui conserve deux pièces pour son usage personnel.

En 1860, il découvre puis travaille au temple d'Edfou qu'il fait désensabler.

Lors de l'Exposition universelle de Paris de 1867, les bijoux d'Ahotep sont exposés à Paris et l'impératrice Eugénie a très envie de certaines pièces, au point qu'elle les demande à Ismaïl Pacha, qui en réfère au directeur du musée de Boulaq. Mariette s'oppose à la volonté impériale, ce qui lui crée des soucis.

Il est retenu par l'opéra Aida, de Giuseppe Verdi, dont il aurait suggéré le thème et qui devait être donné en 1870, pour l'ouverture du canal de Suez, mais en raison de la guerre en Europe et de la défaite de Sedan, la date est reportée à l'année suivante.

Pendant ce temps, les ouvriers, qui dégageaient la stèle des membres de la famille royale semblant dater de l'Ancien Empire, découvrent l'ouverture d'un puits ; l'un d'eux progresse dans la galerie ainsi creusée, une bougie à la main, et réapparait livide, comme vidé de son sang : il venait de croiser le regard brillant de deux personnes qui, le dévisageant fixement, l'avaient effrayé au plus haut point. Lorsque Daninos va voir ce qu'il en était, il se retrouve face aux statues de Rahotep et Néfret qui allèrent ainsi rejoindre le musée de Boulaq.

En 1872, Mariette a 2 780 ouvriers travaillant sous sa direction en Égypte, et, en 1878, il est reçu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres. En 1880, il est rejoint par Gaston Maspero, tandis qu'il tombe à nouveau gravement malade du fait de son diabète. Il meurt en 1881 au Caire, en ayant fouillé 300 tombes, à Saqqarah et à Gizeh, dégagé de nombreux sites en Égypte et en Nubie, et retrouvé environs 15 000 objets. Son dernier ouvrage sera publié après sa mort sous le contrôle de Maspero, Mastabas de l'Ancien empire. Il est enterré au Caire.

Un lycée général et technologique est construit en hommage à Auguste Mariette à Boulogne-sur-Mer, ville natale de l'égyptologue.

Statue de Henri II

Henri II, né le 31 mars 1519 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 10 juillet 1559 à Paris, est roi de France de 1547 à sa mort. Deuxième fils de François Ier et de Claude de France, il devient l'héritier du trône à la mort de son frère aîné en 1536. Il reçoit alors les titres de dauphin et de duc de Bretagne.

L'Eglise Saint-Nicolas

C'est en 1208 que cette église est citée pour la premièrefois ;

P1010005elle fut dédiée au saint patron du monde de la mer :

Saint-Nicolas. Elevée sur la Place Dalton, pittoresque place pavée, la façade et la nef du XVIIIesiècle, remodelées par Giraux Sannier, prolongent un transept et un choeur remontant à la période gothique. Sur cette façade, dans une niche, M.J. Hopkins a représenté le saint et les trois enfants sortant du saloir.

L'église Saint-Nicolas est aujourd'hui le plus ancien édifice religieux encore visible à Boulogne-sur-Mer. Située dans la basse ville, quartier occupé traditionnellement par la population des marins et des pêcheurs, elle est mentionnée pour la première fois en 1208 et dédiée à saint Nicolas, saint patron des marins. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 10 juin 1926


Après sa construction, elle supplanta peu à peu la première église Saint-Pierre, élevée au VIIe siècle à proximité du port antique et disparue au XVIIIe siècle. Les parties les plus anciennes de l'église Saint-Nicolas subsistent dans le chœur et la croisée du transept, l'édifice ayant été saccagé en 1492, lors du siège de la basse ville par Henry VII, roi d'Angleterre.

D'importants remaniements furent effectués aux XVIe et XVIIe siècles. Au XVIIIe siècle, la nef de Saint-Nicolas, devenue trop petite et surtout insalubre et menaçante, fut reconstruite par l'architecte boulonnais, Giraud Sannier. D'un style très sobre, le vaisseau central est accolé de deux bas-côtés et fermé par une façade aveugle, où une niche abrite une statue de saint Nicolas, due à John Hopkins.

La Beurière, c'est le nom populaire donné au quartier où s'entasse, jusqu'à la veille de la seconde guerre, la majeure partie de la population navigante de Boulogne
 
C'est en plein coeur de l' "Rok", dans l'une de ses fameuses rues en escalier, la rue du Mâchicoulis, que la Maison de la Beurière, authentique maison de pêcheurs, vous ouvre les portes du passé maritime de Boulogne, celui de la grande époque de la voile et de la vapeur, du travail à quai et du labeur sans cesse renouvelé de la femme, de son travail en bord de mer ou en atelier à la subsistance du ménage et l'éducation des enfants..

Nausicaa

Depuis son ouverture, NAUSICAA s'est attaché à sensibiliser le public à une meilleure gestion de l'environnement marin. Aujourd'hui, face au constat alarmant dressé au Sommet de Johannesburg et pour un développement durable de notre planète, le Centre souhaite être acteur d'une réelle révolution culturelle.
Plongez dans le plus grand complexe européen dédié à la connaissance des mondes marins : 4, 5 millions de litres d'eau, 36 aquariums, 35 000 animaux et 1000 espèces que vous ne verrez jamais d'aussi près...
Les ambiances sonores et lumineuses vous plongeront littéralement dans l'environnement marin et vous permettront de mieux comprendre les liens qui unissent l'Homme à la Mer.
Dès le début de la visite, vous découvrez l'Océan Mondial en effectuant des "Voyages en Mers du Nord" et des "Escales en Méditerranée". Grâce à de nouveaux aquariums, des écrans d'actualités et de nouveaux décors, vous observez de nouvelles espèces qui bordent les côtes européennes. La visite se poursuit par la découverte du lagon tropical, du bassin des requins, la réserve des lions de mer. Une rencontre s'impose sur la plage d'Afrique du Sud avec un oiseau marin unique : les manchots du Cap. Mais Nausicaà, c'est également des animations, des jeux en famille sur un nouveau plateau interactif ou"la Mer en Direct" est au rendez-vous grâce aux correspondants du monde entier qui apportent leur témoignage sur des initiatives positives pour notre planète. Alors embarquez, très bientôt, pour la planète Nausicaà.

Monument commémorant la vie du général Don José de San Martin, fondateur de l' indépendance de la république d' Argentine, libérateur des républiques du Chili, du Pérou, ayant vécu à Boulogne-sur-Mer,
et mort en cette ville en 1850

Le monument inauguré le 24 octobre 1909, est signé du sculpteur Henri Allouard. Il a été exécuté selon les plans de l' architecte parisien C. Bouzy et mis en place par l' entrepreneur E. Lavoisier.
Il a été donné par la république argentine à la commune de Boulogne-sur-Mer.

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