Cascades du Flumen


Découvrez les cascades du Flumen, un site naturel classé niché au fond d'une vallée non loin de Saint-Claude. 2 chemins de randonnée s'offrent à vous pour découvrir cette merveille de la nature. Pour compléter, d'autres sites emblématiques se trouvent non loin de là : chapeau de gendarme, cascade de la queue de cheval ou encore lac de Lamoura.
Accès depuis Saint-Claude :
Sortir de la ville en direction de Genève. Au lieu-dit Rochefort, tourner à droite direction Septmoncel, puis prendre une petite route qui descend sur la droite en direction du camping du Martinet. Vous passez alors un premier pont, puis un deuxième. Après ce deuxième pont à gauche, vous trouverez une fontaine et le départ du sentier du Flumen.









Les gorges du Flumen
Les gorges du Flumen s'étendent le long de la limite administrative située entre les communes de Septmoncel et de Saint-Claude. Il s'agit d'un canyon né grâce au torrent de Flumen qui est un affluent du Tacon et traverse, en tunnel, un éperon rocheux suivi de cascades successives d'une longueur de 500 m sur 1 km de parcours vers le chapeau de gendarme. Les cascades tombent chacune à côté de l’autre dans un cirque naturel sauvage et obscur. Celle de gauche représente le torrent du Flumen tandis que les autres sont des résurgences en provenance du lac de Lamoura

Laissez-vous guider par le chemin balisé et partez à la découverte des magnifiques paysages jurassiens.
L’accès aux cascades se fait par un sentier unique et vous amène, après 1 h de marche, au pied de la cascade principale qui plonge à plus de 20 m de haut dans un bassin de pierres et de verdure. N’hésitez pas, le long de votre balade, à faire un arrêt pour admirer la faune et la flore riches en ce lieu.
Accessible en toutes saisons, la cascade est grandiose après une averse et magique l’hiver, quand elle se pare de son habit de gel.



Au fond d’une vallée dominée par des sommets de plus de 1 000 m, les cascades du Flumen vous laisseront un souvenir inoubliable. Provenant des eaux du lac de Lamoura et des Hautes-Combes, le Flumen (fleuve en latin), s’infiltre dans les roches fissurées et après un parcours de 4 km, rejoint le Tacon.
Les cascades tombent côte à côte dans un cirque sombre et sauvage.
Ce site classé comme patrimoine naturel d'intérêt national réunit quatre circuits : trois sont de difficulté faible à moyenne, le quatrième est sportif. Vous aurez le choix entre le tour de la Cluse, la promenade des Cascades, le belvédère de la Roche Blanche et enfin sur les Grès du chapeau de Gendarme.


Usine Electrique Du Flumen

Description
Bâtiment principal : moellon calcaire, étage de soubassement, étage carré et étage de comble, tuile mécanique. Annexe de 1929, ayant abrité transformateur, atelier de mécanique et entrepôt : structure et couverture (terrasse) en béton armé. ; surface du site en m2 : 5 910
Historique
7 juin 1903, création de la S.A. Mutuelle électrique du Haut-Jura. Construction en 1904, suivant des plans de l'architecte Emile Hytier, de la centrale hydroélectrique, alimentée par une conduite forcée de 1 320 m de longueur (modifiée en 1925). 1912, dessert Septmoncel et des abonnés dans six communes alentours (tailleries de diamant et lapidaireries notamment). Agrandissement du bâtiment à chaque extrémité en 1912 puis, en 1929, au nord-est par l'édification d'une annexe lors du raccordement au réseau de l'Union électrique. Reprise par EDF début 1966 et dissolution de la S.A. (dite société coopérative de production et de distribution d'énergie électrique, au capital de 195 120 F en 1948).
1904, 2 groupes générateurs de 75 ch chacun dus à un constructeur local, remplacés dès 1911 par un groupe associant turbine Escher-Wyss de 160 ch et alternateur Breguet-Compound, lui-même complété l'année suivante par un moteur de secours (moteur diesel Winterthur de 220 ch accouplé à un alternateur Breguet) puis par un nouveau groupe en 1925 (turbine Escher-Wyss de 240 ch et alternateur Breguet-Compound). 1912, chute de 50 m, une turbine (Francis) de 112 kW, puissance normale 112 kW. 1929, mise en place de 2 transformateurs triphasés de 250 kVA 10 000/3 300 V. Remplacement en 1939 du groupe diesel par un groupe avec turbine Escher-Wyss de 460 ch et alternateur Alsthom de 425 kVA. Production moyenne dans les années 1950 : 2 075 000 kWh.
3 personnes en moyenne en 1912, 14 en 1948 (dont 7 temporaires, un étranger).




























































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