Beaune
Beaune est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne. Située à 45 kilomètres au sud de Dijon et 150 km au nord de Lyon, elle est la sous-préfecture de l'arrondissement de Beaune. Ses habitants sont appelés les Beaunois.
Détails : Bouzaize sortant de sous la ville au lavoir
Héritière d'un riche patrimoine historique et architectural, siège de nombre de maisons de négoce, Beaune peut être considérée comme la capitale des vins de Bourgogne.
"Beaune" est l'évolution étymologique du mot gaulois latinisé "Belena". Belena est le nom de la source autour de laquelle s'est établie la bourgade. Le nom de cette source est issu du patronage du dieu gaulois Belenos, divinité des eaux vives.
Les remparts de Beaune
La Lanterne Magique - Salle de spectacle
Située au cœur du centre ville, la ville de Beaune possède une salle de spectacle unique en son genre qui abritait il y a plus d'un siècle les célèbres caves de négoces Calvet : La Lanterne Magique
l'un des “voyageurs” en bronze de Bruno Catalano.
une grande sculpture en bronze a pris place sur la terre battue de la place Carnot. Une œuvre venue tout droit de la galerie Bartoux
Cet artiste, très coté, est actuellement exposé au Jardin d'acclimatation de Singapour. Ce Français d'origine italienne, né au Maroc, « fait beaucoup parler de lui en ce moment », explique un commercial de la galerie Bartoux. La statue de 600 kilos, dont le prix de vente avoisine celui d'un bel appartement ou d'une maison, est l'une des plus grandes créée par le sculpteur, et a été installée, le 1er juin dernier, avec l'aide d'une petite grue
une valise, un homme. Il s'en empare, et se lance vers l'inconnu. Voyage volontaire vers un horizon qu'on embrasse et qu'on voudrait infini, ou voyage forcé, contraint par l'exil et la souffrance, en quête de liberté et guidé par la survie.
Le voyageur de Bruno Catalano est cet homme laissé à lui même, un homme propulsé dans l'infini du temps et de l'espace. Sa maison n'est plus qu'une valise et son être, progressivement, se dépouillera de tout ce qu'il croyait indispensable, de tout son moi si savamment construit par nos sociétés. Il n'est plus l'homme d'un monde, mais l'homme dans le monde, encore empreint de sa culture mais devenu fragile face à l'immensité. Sa quête ne se fera pas sans dommages.
Homme défragmenté, déstabilisé, dépouillé de ses repères, il marche vers son salut autant que vers saperte. Tout sera désormais a réinventer. Ce voyageur s'échappe de lui même, à la rencontre de sa terre inconnue. Anne Maitre
Statue de Gaspard Monge
Gaspard Monge, comte de Péluse, né le 9 mai 1746 à Beaune et mort le 28 juillet 1818 à Paris (ancien 10e arrondissement), est un mathématicien françaisdont l'œuvre considérable mêle géométrie descriptive, analyse infinitésimale et géométrie analytique.
En parallèle à ses travaux de recherche, il enseigne une grande partie de sa vie et a comme élèves beaucoup des futurs grands mathématiciens français du xixe siècle.
Il joue un grand rôle dans la Révolution française, tant du point de vue politique que du point de vue de l'instauration d'un nouveau système éducatif : il participe à la création de l'École normale de l'an III et de l'École polytechnique (en 1794), deux écoles où il enseigne la géométrie. Il concourt également avec Berthollet,Chaptal et Laplace à la création de l'École d'arts et métiers.
Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d'Italie (1796-1797), et chargé de mission dans l'expédition d'Égypte(1798-1799).
Le 12 décembre 1989, ses cendres ont été transférées au Panthéon
Gaspard Monge (1746-1818), mathématicien et homme politique.
Né et baptisé à Beaune en Bourgogne le 9 mai 17461, Gaspard Monge est le fils de Jacques Monge, un marchand forain haut-savoyard qui devint bâtonnier de la confrérie des merciers de Beaune, et de Jeanne Rousseaux. Il est éduqué par les oratoriens d'abord au collège de Beaune, puis au collège de Lyon, où il enseigne dès l'âge de dix-sept ans les sciences physiques
LE LAVOIR
Le lavoir Saint-Jacques a été édifié en 1887 au pied du rempart, où la Bouzaize sort à l'air libre après son mystérieux passage sous l'Hôtel-Dieu.
Resté longtemps en service, ce lavoir très fréquenté était notamment utilisé par les lavandières d'une blanchisserie bâtie juste à côté.
De l'autre côté du boulevard se situait le quartier des tanneurs, dont les cuves nauséabondes étaient creusées à même le sol. Il y a peu, on pouvait encore voir les volets de bois ventilant les greniers où les peaux étaient mises à sécher.
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